Mais les risques courus l'incitèrent peut-être à s'éloigner de Paris et à acheter, près de Soissons, le château de Vic sur Aisne.
Cet achat, le 30 mai 1791, eut le mérite de sauver le château de la démolition, et plus spécialement le donjon dont les pierres étaient recherchées par les constructeurs de l'époque.